Jeudi. à vendredi...Longue nuit.
Tôt le matin. Trop tard le soir.
Nuit profonde.
Minuit.
1 heure.
2 heures.
3 heures.
4 heures.
Le temps qui passe... La plume qui trace. Le noir qui fonce. Le froid qui glace. Le feu absent. Le ronronnement de Luna manquant. Le thé brûlant. Une pensée qui revient sans cesse "c'est du gros n'importe quoi ce que je fais là..." Mais en même temps c'est comme ça.
Fatigue du lendemain matin. Aujourd'hui entre autre. Difficile de danser ce soir. Et pourtant c'était bien. Oublier un peu qu'on est fatigué, que les nuits sont trop courtes, que les jours n'ont que 24 heures...
Aller se coucher.
*
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