Je me demande pourquoi il est si difficile de mettre des mots. Comment tout ça a pu me toucher autant. Comment leurs souvenirs qui ne sont pas miens ont pu me bouleverser à ce point. Je comprends et ne me rends compte que maintenant. Après un peu de repos sur mes yeux cernés, après un peu de recul sur ces jours dévoilés. Je lis le livre de Marcos Ana. Les dernières pages. Et je vois cet homme. Et je pense aux autres. A ces gens croisés. A ces vestiges du passé. A ces larmes ravalées aux sourires élevés.
Je me demande... Je me demande et je comprends mieux. Je comprends mieux pourquoi. Et comment aussi. Le prix de la liberté. L'importance des mots. La force du beau. L'éphémère de la poésie. Leur message. Pour nous qui devons vivre encore et encore. Pour qu'on sache garder nos ailes et continuer à voler. Ou peut-être seulement commencer. Apprendre. Toucher à la connaissance.
C'était fort. Fort et dur à la fois. Beau. Important. Primordial même. Parce qu'il faut savoir, il faut entendre. Aller vers l'autre pour écouter. Écouter et ne pas oublier. Surtout ne pas oublier.
Tant de choses...
C'est difficile de parler. De mettre des mots là-dessus. De dire les choses et de raconter.
*
C'était fort. Fort et dur à la fois. Beau. Important. Primordial même. Parce qu'il faut savoir, il faut entendre. Aller vers l'autre pour écouter. Écouter et ne pas oublier. Surtout ne pas oublier.
Tant de choses...
C'est difficile de parler. De mettre des mots là-dessus. De dire les choses et de raconter.
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