
J’aime le péril… les précipices…, les dés qu’on jette étourdiment en pariant sa vie entière, et je n’attends même pas qu’ils aient fini de rouler pour décider de ma ruine. Me perdre, j’aime aussi, à l’occasion. C’est moi, rien ne me guérira.
Alabama Song
1 commentaire:
ha! ce livre je l'avais adoré... une histoire d'amour torturée
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